Institute of Social Welfare c. État du Kerala, rapporté en 2006 (2) KLT 871 (2006)

L'utilisation des terres Zonage

 N LA HAUTE COUR DU KERALA

Le juge en chef VKBali et le juge JBKoshy

Signalé en 2006 (2) KLT 871.

Institut de protection sociale

contre

État du Kerala.

JB Koshy,
J.

Dans toutes ces pétitions écrites, le défi concerne le pouvoir du gouvernement.
dans le cadre du Kerala Building (régularisation des constructions et des terrains non autorisés)
Development) Rules, 1999 (en abrégé « les Règles »). Les règles ci-dessus confèrent le pouvoir à
le Gouvernement pour régulariser les constructions et les terrains non autorisés
les développements réalisés en violation des règles de construction sous le Kerala
Loi sur les municipalités et loi Kerala Panchayat Raj. C'est l'affirmation de
majorité des pétitionnaires que les règles ci-dessus sont invalides et ultra vires de
les pouvoirs du Gouvernement. Certains des requérants se sont adressés à cette Cour
déclarant que leurs candidatures ne sont pas examinées conformément aux dispositions du
Des règles sans aucune raison. Nous notons que les règles ci-dessus sont établies uniquement pour
régulariser les constructions non autorisées et les aménagements fonciers réalisés
avant le 15‑10‑1999. Le pouvoir du gouvernement de prendre de telles
ces dispositions sont confirmées par la Cour Apex dans l'affaire Consumer Action Group et une autre c.
État du Tamil Nadu et Ors. (AIR 2000 SC 3060). De plus, un pouvoir débridé n’est pas
accordée au Gouvernement conformément aux Règles pour régulariser les déplacements non autorisés
constructions. Dès le dépôt de la demande, inspection et vérification
doivent être remis par l'urbaniste et remettre un rapport détaillé au
Le gouvernement et le gouvernement doivent examiner la demande après avoir examiné les
plans et autres documents et recommandations du secrétaire de la section locale
l'autorité compétente et l'Urbaniste puis prendre des arrêtés : Procédure détaillée pour
le sort des candidatures est mentionné, en R.5 du Règlement et il y a
suffisamment de lignes directrices également pour passer de tels ordres. Le sous-‑r.(7) de R.5 est comme
suit :

« (7) Aucune construction non autorisée ne sera régularisée si la construction le permet
effectuée affecte négativement les propositions de toute ville générale sanctionnée
Schéma d'urbanisme (plan directeur) ou schéma d'urbanisme détaillé de la zone ou
si la construction enfreint gravement les dispositions de sécurité des règles de construction
actuellement en vigueur ou toute condition de sécurité spécifiée dans l'exemption
ordre ou permis."

Dans l'affaire Consumer Action Group (supra), la Cour Apex a également statué qu'outre
la sécurité publique, la commodité publique et la santé publique doivent également être prises en compte.
Il est également jugé que l'arrêté régularisant ces constructions non autorisées
devrait être un ordre de parole prenant en compte tous les aspects de l'affaire et il devrait être
exercé avec beaucoup de soin et de circonspection. La Cour suprême a statué comme
suit :

"29. Chaque fois qu'une loi confère un pouvoir à une autorité statutaire, y compris
un délégué en vertu d'un statut valide, quelle que soit l'étendue du pouvoir discrétionnaire, le même
doit être exercé raisonnablement dans le cadre de la sphère que confère la loi et
l'exercice des pouvoirs doit résister à l'épreuve (sic) du contrôle judiciaire. Lorsqu'un tel
un large pouvoir est donné à toute autorité statutaire, y compris un délégué, alors il est
obligation pour cette autorité d'indiquer clairement sa raison dans le
s'ordonner pour exercer un tel pouvoir. Application de l'esprit d'une telle autorité
à ce moment-là ne pourrait être révélé que lorsque l'ordre en indiquera la raison. Même
si l'article ne dit rien sur l'enregistrement du motif, celui-ci est obligatoire sur le
Gouvernement tout en passant des ordres en vertu de S.113 pour en enregistrer la raison. "

Encore une fois, il a été observé ce qui suit :

"30. Lorsqu'un pouvoir aussi étendu est conféré au gouvernement, il doit être exercé
avec plus de circonspection. Plus grand est le pouvoir, plus grand devrait être le
prudence. Aucun pouvoir n’est absolu, il est couvert par les contrôles du statut lui-même
L’existence du pouvoir ne signifie pas qu’on puisse en donner un sur simple demande. Le mandat
d'un tel pouvoir n'est ni d'agir par bienveillance ni dans le domaine extra-légal.
Confier un tel pouvoir est uniquement pour le bien public et pour le public
cause. Dans l'exercice de ce pouvoir, l'autorité doit garder à l'esprit les
l'objectif et la politique de la Loi sur les terres tout en accordant un allègement doivent être équivalents à
effet résultant d’une telle subvention sur à la fois le public et l’individu. Donc
tant qu'elle n'affecte pas matériellement la cause publique, la subvention serait
éliminer les difficultés individuelles qui resteraient dans la limite admissible de la
exercice du pouvoir. Mais là où cela porte atteinte à la sécurité publique, au confort public,
public, santé, etc., l’exercice du pouvoir ne peut pas être destiné à la promotion de
l’objet de la Loi. Des abrasions mineures ici et là pour éliminer de plus grandes
difficulté, peut être dans un cas donné, être justifiée mais en aucun cas affecter la
public en général. Ainsi, chaque fois que le gouvernement exerce son pouvoir, il doit examiner
et équilibrez cela avant d’exercer un tel pouvoir.

Ainsi, les ordres adoptés par le gouvernement en vertu des règles ci-dessus devraient être un discours
ordre et le gouvernement devrait veiller à ce que de tels ordres d'exemption n'affectent pas
la santé publique, la sécurité publique et la commodité publique et les ordres ne peuvent être donnés que
pour des raisons très valables. Par conséquent, toute demande ou toute requête en révision
en instance devant le Gouvernement sera examinée par le Gouvernement en tenant compte
les directives de la Cour suprême citées ci-dessus.

Avec cette instruction, ces requêtes écrites sont éliminées.

CMPNos. 1635, 25960 et 40171 de 2000 dans OPNo. 16295 de 1999,
CMPNo.48124 de 2000 dans OPNo.6615 de 2000, CMPNo. 12500 sur 2000 en
OPNo.7500 de 2000 et CMPNo.16687 de 2000 dans OPNo.10018 de 2000 ne le seront pas
survivre.