Sentence 169 de 2001
Sentence C-169/01
LEY ESTATUTARIA-Materia/PARTICIPACION POLITICA-Fundamental/DEMOCRACIA PARTICIPATIVA-Circunscripción électorale spéciale
CONVENIO 169 DE ORGANIZACION INTERNACIONAL DEL TRABAJO-Consulta de etnias/CONVENIO SOBRE PUEBLOS INDIGENAS Y TRIBALES EN PAISES INDEPENDIENTES-Consulta de medidas legislativas o administrativas
CONSULTA DE COMUNIDAD INDIGENA-Adoption de mesures législatives ou administratives
CONVENIO 169 DE ORGANIZACION INTERNACIONAL DEL TRABAJO-Margen de discrétion en deberes
CONSULTA DE COMUNIDAD INDIGENA-Exploitation des ressources naturelles
CONSULTA DE COMUNIDAD INDIGENA-Fondamental
CONSULTA DE COMUNIDAD INDIGENA-Supuestos específicos
CONSULTA DE COMUNIDAD INDIGENA-Ampliación de supuestos
Ni la Constitution, ni le Congrès n'ont prévu la réalisation de la consultation préalable lorsqu'elle a été adoptée par des mesures législatives. Avant le silence normatif, il faut entendre que, à ce moment-là, le pouvoir d'attribuer aux organismes représentants du peuple colombien l'obligation qui est inscrite dans l'article 6 de la Convention 169 de l'OIT, est de consacrer la consultation préalable comme une procédure obligatoire pour les hipotes spécifiques est prévue. Selon les critères de la Cour, on ne reconnaît pas les limites de la discrétion qui est accordée à ses États parties, mais chacune d'elles prétend combiner la protection du territoire en ce qu'elle habite son appartenance ethnique et la sauvegarde de son identité particulière, par un. parte, avec le fomento de votre participation, par ailleurs; lo cual, a todas luces, satisface el objetivo principal del Convenio referido. L’amplification des suppositions dans cette procédure est obligatoire, tendra à faire l’objet d’une réglementation future légale.
PARTICIPACION-Importancia
DERECHO DE PARTICIPACION EN EL PODER POLITICO-Conformación, ejercicio y control
PLURALISMO-Alcance
DEMOCRACIA-Fuerzas que conforman la sociedad
Seul peut s'exercer une démocratie démocratique, représentative et participative, tout en donde la composition formelle et matérielle du système gardant une correspondance adéquate avec les diverses forces qui conforment la société, et les permettant, à toutes elles, de participer à l'adoption des décisions que les conciernan.
DEMOCRACIA PARTICIPATIVA Y PLURALISMO-Consecuencia de relación
La relation inéluctable qui s'établit entre le pluralisme et la participation dans une démocratie constitutionnelle comme la Colombie, entraîne la nécessité immédiate que le système représentatif reflète au maximum, dans sa conformation, les différentes alternatives politiques que plante la société.
PARTICIPACION EN CAMARA DE REPRESENTANTES-Beneficios de circunscripción especial/PARTICIPACION DE GRUPO ETNICO, MINORIA POLITICA Y RESIDENTES EN EL EXTERIOR-Circunscripción especial
COMUNIDAD INDIGENA-Pobreza et marginación económica/COMUNIDAD NEGRA-Pobreza et marginación económica
MEDIDAS DE DISCRIMINACION INVERSA O POSITIVA-Circunscription spéciale pour les minorités
PARTICIPACION DE GRUPO ETNICO, MINORIA POLITICA Y RESIDENTES EN EL EXTERIOR-Distribución de curules en circunscripción especial
COMUNIDAD NEGRA-Etnia
Concept TRIBAL
PUEBLO TRIBAL-Requisitos
COMUNIDAD NEGRA-Alcance del término
PARTICIPACION EN CAMARA DE REPRESENTANTES-Alcance nacional de circunscripción especial
PARTICIPACION DE GRUPO ETNICO, MINORIA POLITICA Y RESIDENTES EN EL EXTERIOR-Requisitos de candidatsos en circunscripción especial
PARTICIPACION EN CAMARA DE REPRESENTANTES DE COMUNIDAD INDIGENA-Requisitos de candidatsos
PARTICIPACION EN CAMARA DE REPRESENTANTES DE COMUNIDAD NEGRA-Requisitos de candidatsos
PARTICIPACION EN CAMARA DE REPRESENTANTES DE MINORIA POLITICA-Requisitos de candidatsos
MINORIA POLITICA-Alcance
PARTICIPACION EN CAMARA DE REPRESENTANTES DE MINORIA POLITICA-Respaldo de movimientos sociales o grupos de ciudadanos
PARTICIPACION EN CAMARA DE REPRESENTANTES DE RESIDENTES EN EL EXTERIOR-Requisitos de candidatsos
TARJETA ELECTORAL-Requisitos
Référence : opportun PE – 012
Révision constitutionnelle du projet de loi numéro 025/99 Sénat et 217/99 Chambre, « pour la réglementation de l'article 176 de la Constitution politique de Colombie ».
Magistrado Ponente :
Dr CARLOS GAVIRIA DIAZ.
Bogotá DC, catorce (14) de février de dos mil uno (2.001).
La Sala Plena de la Corte Constitucional, en cumplimiento de ses attributions constitucionales y de los requisitos y trámite établis dans le décret 2067 de 1.991, a proferido la suivante
SENTENCE
I. ANTÉCÉDENTS
Le jour 28 juin 2000, a été reçu par la Cour constitutionnelle, remis par le Président du Sénat de la République, le projet de loi 025/99 Sénat et 217/99 Chambre, « pour la réglementation de l'article 176 ». de la Constitution Politique de Colombie ».
Dès la date du 7 juillet 2000, la Cour constitutionnelle a pris connaissance de la présente loi et a ordonné la pratique de certaines études. Une fois que cela a été reçu et reçu par le Despacho, à la date du premier mois d'août (1) du même an, il a été ordonné de suivre la liste du processus du Secrétariat général de l'entreprise pour permettre l'intervention citoyenne, qui est ordonnée. les communications constitutionnelles et juridiques correspondantes, et simultanément, sont transmises au Procureur général de la nation, qui explique le concept de sa compétence.
Une fois complétés tous les délais prévus dans l'article 242 de la Constitution et dans le décret 2067 de 1.991, la Cour doit résoudre l'exécution du projet de loi de référence.
II. TEXTO DEL PROYECTO DE LEY ESTATUTARIA QUE SE REVISA
« PROYECTO DE LEY No. 25-S/99 y 217-C/99, « Por la cual se reglamenta el artículo 176 de la Constitución Política de Colombia ».
LE CONGRESO DE LA RÉPUBLIQUE DE COLOMBIE
DÉCRET :
TITRE I
DISPOSITIONS GÉNÉRALES
CAPITULE I
DÉFINITION
ARTICLE 1. Conformément à l'article 176 de la Constitution politique, il y aura une circonscription nationale spéciale pour assurer la participation de la Chambre des représentants des groupes ethniques, des minorités politiques et des colombiens résidents à l'extérieur.
Cette circulation comprend cinq (5) curules distribuées comme suit : deux (2) pour les communautés noires, un (1) pour les communautés autochtones, un (1) pour les minorités politiques et un (1) pour les colombiens résidant à l'extérieur. .
Paragraphe. Quien mer elegido para la circonscripción spéciale des colombiens résidents à l'extérieur, devra résider sur le territoire national pendant qu'il respecte les conditions de représentant à la chambre.
CAPITULE II
DE LAS COMUNIDADES INDIGÉNAS
ARTICLE 2. Candidats des communautés autochtones : les candidats des communautés autochtones qui aspirent à être élus à la Chambre des Représentants dans cette circonscrition doivent avoir ejercido une cargaison d'autorité traditionnelle ou se faire diriger par une organisation autochtone, qualité qui se accréditera intermédiairement certifié par l'organisation respective recommandée par le Ministère de l'Intérieur.
CAPITULE III
DE LAS COMUNIDADES NEGRAS
ARTICLE 3. Candidats des communautés noires. Ceux qui aspirent à être candidats des communautés noires à être élus à la Chambre des Représentants pour cette circonscripción spéciale, doivent être des membres de la communauté respective et avalados préalablement par une organisation inscrite devant la Direction des Communautés Noires du Ministère de l'Intérieur.
CAPITULE IV
DES MINORIES POLITIQUES
ARTICLE 4. Candidats des minorités politiques. Nous pouvons adhérer à une cure de circulation spéciale pour les minorités politiques, les mouvements ou les partis politiques :
un. Nous avons présenté des candidats à la Chambre des Représentants comme au minimum dans un 30% des circonscriptions territoriales,
b. Que no hubiesen obtenido représentants en el Congreso Nacional y,
c. Que votre vote municipal ait lieu dans un même département ou circonscription maritime territoriale inférieure au 70% de la somme de votre vote dans tout le pays.
Le curul correspondra au parti du mouvement politique qui, en conjonction avec les exigences des littéraux antérieurs, obtiendra le vote du maire agrégé dans tout le pays.
La liste à la personne assignée au curul sera la conformada des chefs de liste du maire à une moindre votation des inscrits pour le parti respectif ou le mouvement sur l'ensemble du territoire national.
CAPITULE V
DE LOS COLOMBIANOS RÉSIDENTES EN EL EXTERIOR
ARTICLE 5. Candidats colombiens résidents à l'extérieur : Les candidats colombiens résidents à l'extérieur qui aspirent à être élus à la Chambre des représentants doivent démontrer aux autorités électorales colombiennes une résidence minimale de cinq ans (5) ans continus dans le extérieur et contact avec un aval d'un parti ou d'un mouvement politique officiellement reconnu par le Consejo Nacional Electoral.
Ces représentants à la Chambre seront élus avec les votes obtenus des citoyens colombiens dans les consulats ou les ambassades de Colombie accréditées dans les différents États du monde.
Paragraphe. La résidence à l'extérieur des citoyens qui répondent à la nomination d'un candidat, se comparera avec la demande du registre du citoyen colombien au Consulat de Colombie avec juridiction sur son lieu de résidence ou avec l'inscription à l'extérieur dans le processus électoral antérieur , ou avec le certificat électoral en ce qui concerne votre participation antérieure à l'extérieur ou avec le vente d'entrée dans le pays par la partie de l'autorité d'immigration respective estampillée sur le passeport colombien.
TITUL II
DISPOSITIONS FINALES
CAPITULE I
DISPOSITIONS COMUNES
ARTICLE 6. Inscriptions : Les candidats à la Chambre des Représentants qui postulent à un voyage de circonscription spécial doivent s'inscrire avant le Registrador Nacional ou leur délégué, puis dans le cas des colombiens résidents à l'extérieur qui doivent s'inscrire avant le consul ou l'ambassade. de Colombie de sa résidence.
ARTICLE 7. Incompatibilités et incapacités : Les représentants à la Chambre élue dans le cadre de cette circonscripción spéciale sont soumis au régime général d'incapacités et d'incompatibilités des parlementaires.
ARTICLE 8. Conditions générales. Pour être élu représentant à la Chambre dans le cadre de cette circonscription spéciale, il doit être citoyen colombien en exercice et avoir plus de 25 ans d'éducation à la date de l'élection.
ARTICLE 9. Tarjetas Elections. Les candidats à la Chambre des représentants qui aspirent à cette circonscription, dans le cadre de l'établissement des articles 2 et 3, apparaîtront sur une carte électorale de circulation nationale où ils distingueront avec clarté les candidats des communautés autochtones et les candidats des communautés autochtones. communautés noires.
Les candidats à la Chambre des représentants des résidents colombiens à l'extérieur apparaîtront sur une carte électorale distincte à l'avant de circulation exclusive aux consulats et aux ambassades de Colombie à l'extérieur.
ARTICLE 10. Asignación de curules. Les représentants de la Chambre, par la circonscription spéciale, seront élus à l'intérieur du système qui, en ce moment, sera l'ambassadeur des parlementaires.
ARTICLE 11. Interdiction. Ninguna persona podrá voter simultaneamente par un candidat à la Chambre de circonscription territoriale et par un candidat à la Chambre de circonscription spéciale.
ARTICLE 12. Élections : La première élection à la Chambre des représentants par circonscription spéciale, se réalisera conjointement avec la prochaine élection que le congrès réalisera ensuite l'entrée en vigueur de cette loi.
ARTICLE 13. Subsidiarité : En lo no previsto por esta Ley, l'élection à la Chambre des Représentants de circonscription spéciale sera régie par les normes qui réglementent la circonscription territoriale de la Chambre des Représentants.
CAPITULE II
DE LA VIGENCIA
ARTICLE 14. Vigencia: Esta Ley rige a partir de su promulgación.
III. INTERVENTIONS
1. Intervention du Ministère de l'Intérieur
Le citoyen Armando Delgado Mendoza, en sa qualité d'apoderado du Ministre de l'Intérieur, est intervenu dans ce processus pour défendre la constitutionnalité du projet de loi en basse révision, pour les raisons qui reprennent la suite.
Le projet vise à contrecarrer les différences factuelles qui existent dans la société, en tant que moyen de différence positive ; Il s'agit en fait d'une décision qui consiste à prendre un groupe de citoyens déterminés dans des conditions les plus favorables qui soient nécessaires à la généralité de la population, comme une forme de garantie de leur survie collective, ou de surpasser les conditions matérielles ou sociales défavorables que les affectan.
En outre, il est indiqué que le texte est conforme à l'article 7 de la Charte, conformément à ce qui correspond à l'État pour reconnaître et protéger la diversité ethnique et culturelle de la Nation, à la lumière des principes de la dignité humaine, du pluralisme et la protection des minorités. «En este meme sentido, cabe destacar que la voluntad de l'Asamblea Nacional Constituyente, fue la de proteger certains intérêts de notre société colombienne atropellados, marginados, desconocidos, comme ses intérêts indigènes et de la race noire. Il vous permettra d'adopter des mesures en faveur des mineurs afin de remédier à cette situation défavorable dans laquelle ils se trouvent, en favorisant leur accès aux différents corps universitaires, à l'éducation et, en général, à tous les avantages qui n'ont jamais été à leur capacité. De même, l'article 8 de la même Constitution, qui est l'obligation de l'État et des personnes de protéger les ressources culturelles et naturelles de la nation ; En ce qui concerne les ressources culturelles, il doit être entendu comme un processus politique associé à certains droits fondamentaux comme l'éducation ».
Considérant que la distribution des 5 curules de celle qui traite de l'article 176 supérieur, « est la plus proportionnée et équitable, conformément au nombre et aux caractéristiques de la population objet des prérogatives otorgadas par la disposition référée ».
Observez que les conditions exigées par l'article 2 du projet pour être représentant à la Chambre en représentation des communautés autochtones sont similaires aux exigences de l'article 171 Supérieur pour être sénateur de la République pour la circonscription particulièrement autochtone ; à ce moment-là, on considère qu'il est approprié que les conditions « soient étendues à celles qui aspirent à la Chambre des représentants de certaines communautés, car elles veulent que ceux qui ont l'autorité traditionnelle ou le dirigeant d'une organisation autochtone soient la personne qui connaît le mieux les règles que Le gouvernement, les costumes, la culture et les particularités doivent créer une meilleure représentation de leurs communautés ».
Compte tenu des exigences qui doivent remplir les mouvements ou les partis politiques qui présentent des candidats à la Chambre des représentants des minorités politiques, il affirme que « son plus grand accord avec l'esprit participatif et pluraliste de la Constitution, dans le sentiment de la grande participation » que deben tener dans diverses circonstances du pays, qu'en outre, ils n'ont pas obtenu de représentation au Congrès et que le curul a été désigné pour quienes hubieren obtenido la vote du maire sur le territoire national ».
En ce qui concerne les représentants à la chambre des colombiens résidant à l'extérieur, ils affirment que « les conditions de résidence à l'extérieur conviennent au minimum de cinq (5) ans, à la moyenne pour que le candidat doive s'inscrire à l'étranger, vous devez connaître les problèmes, les aspirations et les intérêts de la population qui aspire à représenter ; De même, il est conforme aux lignes directrices de l'article 108 de la Constitution politique que les candidats peuvent s'inscrire dans un parti ou un mouvement officiellement reconnu par le Conseil national électoral, ou dans la réponse confirmée par un pourcentage de votants pour le président. de la République du pays lorsqu'il inscrira l'aspirant, il peut avoir la finalité de garantir la série des inscriptions de ses candidats. D'autre part, il affirme que « il est naturel et logique que ceux qui en résultent soient élus par la circonscription spéciale des colombiens résidant à l'extérieur, qui doivent résider sur le territoire national alors qu'ils exercent leur condition de représentant à la chambre, et qu'ils considèrent qu'ils sont en Colombie » donde se van a exercer les funciones de Congresista”.
En ce qui concerne le régime d'incapacités et d'incompatibilités prévu par le projet, qui sera le des congrès en général, confirmera qu'il sera en accord avec les articles 179, 180 et 181 de la Constitution, ainsi qu'avec les normes pertinentes de la Loi 5. de 1.992, il y a des dispositions qui réglementent le régime aux termes généraux, « sans distinguer ou exceptionnellement entre celles qui aspirent aux circonscriptions territoriales ou nationales ou qui aspirent aux circonscriptions spéciales ». De même forme, affirme que les exigences qui envisagent l'article 8 pour être représentant à la Chambre des circonstances spéciales armonizan avec le litige concernant l'article 177 supérieur.
En fin de compte, étant donné que l'élaboration d'une norme régissant les fonctions électorales, il sera nécessaire de faire en sorte que la loi statutaire soit appliquée de manière efficace au Congrès, conformément aux exigences imposées par l'article 153 supérieur.
2. Intervención de la Organización Nacional Indígena de Colombia (ONIC).
Les citoyens Armando Valbuena Goariyú, Rosalba Jiménez Amaya et Adelayda Alvarez García, nommés en tant que président, secrétaire général et coordonnateur des projets et des finances de l'Organisation nationale autochtone de Colombie (ONIC), sont intervenus dans ce processus pour exprimer leur concept. de ce fait, la norme sous-révisée est une violation de la Constitution nationale.
Expliquer qu'un des instruments les plus importants concernant ceux qui ont un niveau national et international pour défendre le pluralisme et la diversité ethnique et culturelle, en ce qui concerne les peuples autochtones, est la consultation préalable. Ceci, selon l'article 6 de la Convention 169 de l'OIT sur les peuples indigènes et tribaux dans les pays indépendants - ratifié par la Colombie par la loi 21 de 1.991 -, consiste en l'obligation d'assister les Etats parties de « consulter les peuples intéressés, intermédiaires » procédures appropriées, notamment en ce qui concerne les institutions représentatives, chaque fois que les mesures législatives ou administratives sont susceptibles de les affecter directement… ». Ce traité, en vertu du litige relatif à l'article 93 de la Constitution, est d'application répandue dans le pays. En même temps, les intervenants ont collaboré avec le décret 1397 de 1.996, qui concerne la Commission nationale des territoires autochtones et la Mesa permanente de concertation avec les villages et les organisations autochtones, et l'article 12 prévoit la Mesa de concertation de la fonction. de « concerter la procédure transitoire et les questions qui sont requises pour la participation, la consultation et la concertation avec les villages ou les communautés autochtones spécifiques, alors qu'ils expédient le décret réglementaire. La concertation sera respectueuse des utilisateurs et des costumes de chaque village ».
Dans cet ordre d'idées, j'affirme que le projet de loi de basse révision, « en tant qu'objet de la réglementation de l'article 176, et qu'il faut mentionner comme le fait le numéro, les exigences et les conditions pour que les peuples autochtones puissent adhérer à cet article ». une représentation politique à la Chambre des Représentants est indubitablement constituée en un possible moyen législatif susceptible d'affecter directement les peuples autochtones de Colombie ». Par ailleurs, il a été rédigé par l'article 6 de la Convention 169 de l'OIT, il était donc nécessaire d'améliorer le mécanisme de consultation préalable, ce qui ne se fait pas à ce moment-là.
Considérant que « si bien que dans le cas des peuples autochtones la norme a le texte de l'article 171 de la Constitution politique, on ne veut pas décider que cela peut éviter la consultation préalable, il peut y avoir de nouvelles (9) années après la promulgation de la Constitution politique, Les peuples indigènes ont diverses expériences de ce qui a permis la participation politique au Congrès de la République, ce qui nous permet d'apporter de nouveaux éléments pour une loi qui réglemente notre participation à la Chambre ». D'autre part, il affirme que « le président du Congrès qui a discuté de ce projet de loi, les congrès autochtones ne signifient pas que la consultation préalable est faite, ils peuvent remplir un papier de représentation politique, qui ne supplée pas à la voix des députés ». villages et organisations autochtones.
Par ailleurs, il exprime que le projet est conforme aux articles 1, 7, 8 et 93 de la Charte, ainsi que la Convention 169 de l'OIT, le Décret 1397 de 1.996 « et la législation concordante ».
3. Intervención de la Dirección General para las Comunidades Negras, Minorías Etnicas y Culturales del Ministryio del Interior.
Le citoyen Gabino Hernández Palomino, nommé directeur général des communautés noires, des minorités ethniques et culturelles du ministère de l'Intérieur, est intervenu dans ce processus pour solliciter la déclaration exécutable du projet de loi de bas studio, sur la base des arguments que se señalan en seguida.
Dans le cadre de la diversité qui caractérise le pays, « la présence et l'apport des communautés noires au passé et au présent de la Colombie ont eu une influence vitale dans la conformation des régions ». Expliquer que ces communautés « habitent dans chaque région géographique conforme au pays, occupant des espaces territoriaux en forme ancestrale », et qu'elles « ont historiquement été portées au développement des différents aspects en termes politiques, économiques, sociaux, culturels, entre autres. d’autres », processus qui s’est accru au cours des dernières années, période d’activité et d’interaction entre elles et avec l’État.
Il faut dire qu'il a ignoré sa participation dans les espaces de décision ; et il énumère des phénomènes tels que « le déséquilibre historique produit et accentué, entre les activités significatives de la population afro-colombienne et la construction de la nation colombienne, dans le matériel, dans la culture et dans la politique, et l'escasísima rétribution de la nation aux communautés noires en Terminos de la reconnaissance et de la valorisation du peuple afrocolombien en tant qu'ethnie et culture, du soutien des communautés afrocolombiennes à l'invisibilité politique, sociale et économique et du déséquilibre dans l'inversion sociale et des ressources productives pour le soutien et le développement ».
Par ailleurs, il faut considérer qu'il est nécessaire de promouvoir « le développement et le renforcement de la capacité de gestion et de participation des communautés afrocolombiennes, ainsi que la capacité de décision et d'action devant son propre destin, avec les garanties politiques et économiques que ces processus exigent » ». Pour cela, « en tenant compte de la présence de représentants des communautés noires dans les domaines du pouvoir et dans les organismes de contrôle, un projet de loi comme celui-ci est indispensable, pour garantir aux groupes discriminés un certain degré de participation à la vie politique de la Nacion".
En ce sens, le projet de loi de bas studio constitue un desarrollo du différend selon l'article 13 de la Charte politique, en particulier en raison de l'attribution des curules à la Chambre des représentants des communautés noires, qui « va encaminado a développer et approfondir le concept de différenciation positive, en vertu de laquelle nous cherchons à favoriser un groupe qui, depuis des décennies, a vécu dans des conditions sociales, culturelles, économiques et politiques de marge et d'exclusion, nous pouvons élever la participation de ce groupe aux niveaux de décision de la vie politique nationale, comme le Congrès de la République ». Expliquez également que le projet de loi se réfère à la participation politique des communautés noires, en tant que groupes ethniques qui seront définis dans l'article premier de la Loi 70 de 1.993.
4. Intervention de la défense du peuple
Le citoyen Ricardo Correal Morillo, directeur national des ressources et des actions judiciaires de la défense du peuple, a apporté à ce processus, en forme improvisée, un écrit dans la manière manifeste que l'institution s'abstient d'émettre un concept « par ce qu'il n'est pas nécessaire, al no encontrar reparos de inconstitucionalidad de la norma”.
5. Intervention de la Dirección General de Asuntos Indígenas del Ministryio del Interior
En forme également improvisée, la citoyenne Marcela Bravo Gallo, nommée en qualité de directrice générale des affaires autochtones du ministère de l'Intérieur, est intervenue dans ce processus pour prononcer sur la constitutionnalité de la norme de bas studio, avec les arguments suivants.
Considérant que le deuxième élément de l'article premier, en ce qui concerne l'attribution des curules aux communautés noires et aux autres groupes contemplés, est le principe de l'égalité qui consacre l'article 13 supérieur, « parce que les peuples indigènes de Colombie se Nous trouvons des localités dans environ 27 départements, et dans la plupart des cas, la présence autochtone dans certaines régions du pays est majoritaire en face de la population d'autres groupes ethniques, ce qui signifie que la représentation des peuples autochtones dans la composition de la Chambre de Les représentants seront inéquitables.
En vertu de l'article 2, il est expliqué que «se doit avoir en compte prioritairement la qualité des autochtones, l'autorité traditionnelle ou celle qui fait partie d'un Cabildo et le caractère de dirigeant d'une organisation autochtone, que son exercice est simplement reconnu par sa communauté». Le peuple à travers la figure du Cabildo et/o de reconnaissance de sa communauté à qui le correspondant accrédite sa qualité, en conformité avec le Décret 2150 de 1.995, les organisations autochtones se sont enregistrées avant les Chambres de Commerce et la Direction Générale de Les Asuntos Indígenas lèvent seuls le registre des associations et des organismes qui traitent le décret 1088 de 1.993”.
IV. CONCEPTO DEL PROCURADOR GENERAL DE LA NACION
Le procureur général de la nation, dans sa conception n° 2316, a reçu le 15 septembre 2000, a demandé à la Cour de déclarer la constitutionnalité du projet de loi n° 025/99 du Sénat et de la Chambre 217/99, avec le fondement des considérations suivantes. .
En ce qui concerne le projet de loi de bas examen, observez que celui-ci est rempli avec les exigences de forme exigées par les articles 153 et 157 et les suivants de la Constitution, motif pour lequel il n'y a pas de réparation dans cet aspect.
En ce qui concerne l'analyse du fond du projet analysé, la conception selon laquelle son contenu est intimement lié à ce qui est prévu dans l'article 152, littéraux a) yd), de la Constitution, et qui, en ce sens, constitue un développement du différend par l'article 7 Supérieur, selon le cual l'État, reconnaît et protège la diversité ethnique et culturelle de la Nation.
L'asimitisme montre que le projet en question garde le principe constitutionnel de l'égalité, le fait qu'il ait un sentiment et un contenu matériel, de sorte que l'égalité n'est pas conçue seule comme la simple égalité des personnes devant la loi sans péché. distinctions en ce qui concerne les réalités de l'ordre factuel qui caractérisent la situation sociale des personnes, si cette notion permet la discrimination positive des plus débiles et discriminés facultée par le législateur pour établir des traitements différents en faveur de ces personnes ». Ce traitement différentiel « s’inscrit dans la notion de citoyenneté différente, d’importance transcendantale dans le modèle politique de l’État social de droit, soutenu sur la base du concept de sobriété populaire ».
Expliquer que, dans sa formulation originale, le principe de l'igualdad hacía abstraction des particularités sociales, ethniques ou culturelles des personnes ; « De cela, il est certain que le caractère commun de la ville a proclamé la formule de l'igualdad formelle avant la loi qui était suffisante pour protéger de manière adéquate les intérêts de tous les hommes, sans toutefois obstiner les différences que ces derniers doivent comporter ». Nonobstant, avant l'exclusion des personnes appartenant à des minorités qui découlent de cette conception abstraite de la personne, la « reconnaissance des droits différents avant qu'un privilège soit converti en un impératif des corps normatifs des démocraties contemporaines sur les qualités gravita le principe du matériel d'égalité, le cual reconnaît l'expérience historique de l'acerdo avec les cual los postulados de la ciudadanía universal resultaron a la postre discriminatorios de la minorías ».
Dans le domaine particulier des droits politiques, cela a eu une importance particulière, bien plus dans les États régis par le principe de participation démocratique ; Il est dit que, seulement après la reconnaissance des différences existantes, il est possible que les groupes traditionnellement marginalisés aient la possibilité d'exprimer et d'inciter les choses fondamentales de leurs États. En ce sens, « avec le projet de loi en étude, le législateur colombien prétend être supérieur à une faille chronique du système de représentation politique en Colombie parce qu'il manque de légitimité qui fait partie de l'exclusion des secteurs et des groupes humains que notre société a il est traditionnellement marginalisé par les centres de décision normatifs et gouvernementaux ».
Enfin, il est clair que « le contenu de ce projet n’est pas autre chose que le développement normatif d’une faculté reconnue par la Charte comme le législateur », c’est ce qui ressort du différend relatif à l’article 176 de la Charte politique. En conséquence, nous demandons à la Cour de déclarer exécutable le projet, « avant de vérifier les exigences de forme liées au nombre de votes en faveur du projet émis par la Commission première du Sénat de la République en faveur du bien et de l'accomplissement des exigences prévues » dans l'article 161 du même statut relatif à la décision finale du Sénat de la République concernant l'information de la Commission Accidentelle.
V. CONSIDÉRATIONS
1. La compétence
Cette société est compétente pour prononcer sur la constitutionnalité du projet de loi de bas studio, conformément aux articles 153 et 241-8 de la Constitution politique. Lors de l'élaboration d'un projet de loi statutaire, la Cour décide définitivement de sa constitutionnalité, tant pour son contenu que pour la procédure qui est suivie pour sa formation (CP, art. 241-8).
2. Aspects formels
2.1. Généralités – Matière de la loi
Il appartient au Tribunal, en premier lieu, de déterminer si le matériau du projet de loi sous-révisé est compte tenu de ce qui, en conformité avec l'article 152 de la Constitution, exige le cadre d'une loi statutaire.
Le titre du projet doit être réglementé par l'article 176 de la Constitution politique, ce qui est prévu, en partie pertinente :
«(…) La loi peut établir une circulation spéciale pour assurer la participation à la Chambre des représentants des groupes ethniques, des minorités politiques et des résidents colombiens à l'extérieur.
Au milieu de cette circonscrition, vous pouvez choisir jusqu'à cinq représentants.
Il est donc clair que le thème de ce projet est directement lié à deux des aspects réservés à la Constituante en tant que matière de lois statutaires : a) d'une part, établir le droit fondamental de participation politique des citoyens colombiens qui se rencontrent en cualquiera des trois catégories prévues par l'article 176 Supérieur -groupes ethniques, minorités politiques et colombiens résidents à l'extérieur-; et b) d'autre part, créer une circonscription électorale spéciale, c'est-à-dire l'une des principales figures avec celles qui possèdent le système démocratique pour canaliser la participation citoyenne dans l'organisme législatif et enriquecer son caractère représentatif. Il y a une société qui a établi que « la création d’une circonscription spéciale constitue un acte qui affecte directement les résultats des processus électoraux, qui peut à travers elle modifier – en plus ou en moins – la forme pour augmenter la représentation politique. En effet, les étudiants du thème électoral affirment que l’établissement des circonscriptions électorales – leur taille, leur délimitation – est l’un des aspects les plus importants pour la détermination du système électoral d’un pays » (Sentence C-484/96, député Eduardo Cifuentes Muñoz). En conséquence, il a été procédé à l'application de l'article 152, littéralement a) yd), de la Charte Politique. Par ailleurs, la Cour doit vérifier si, dans ce cas, elle remplit les conditions requises par les articles 153 et 157 de la Constitution pour l'exécution des lois statutaires, à savoir :
un. Le projet a été publié officiellement par le Congrès avant de suivre son cours dans la Commission respective.
b. Il a été discuté et approuvé lors du premier et deuxième débat auprès des chambres législatives, conformément aux termes établis dans la Constitution.
c. Il a été approuvé, dans tous les débats, par la majorité absolue des membres du Congrès, dans une seule législature.
d. Il s'agit d'un contrôle préalable de la constitutionnalité de la Cour constitutionnelle.
Le cumul des conditions antérieures sera constaté dans la continuité.
2.2. Traite du projet de loi avant le Congrès
un. Le projet a été présenté par la sénatrice Piedad Córdoba au Secrétariat général du Sénat le 21 juillet 1999, et a été radicalisé avec le numéro 025/99 ; en même temps, le président de la société l'a reparti à la Commission première constitutionnelle. Il a été publié dans la Gaceta del Congreso n° 202, du 22 juillet 1.999, et le jour 28, et a été désigné comme le premier débat de la sénatrice Ingrid Betancourt, qui a été informée de sa publication dans la Gaceta n° 277 de 1.999, le 26 août dernier.
b. Conformément à la charte envoyée le jour 17 décembre par le Président du Sénat à la Présidente de la Chambre des Représentants, en ce qui concerne la remise du projet (fl. 76), la Commission Première a examiné et approuvé le projet les jours 14, 16. , 21 et 29 septembre et 19 octobre 1999, avec le plein des exigences constitutionnelles et juridiques, selon les actes nos 10, 12, 13, 16 et 21 de las messes fechas, et dans la certification rapide le 18 juillet 2000 par le Secrétaire de la Commission. La Présidence de la Commission Primera a désigné Ingrid Betancourt comme responsable du deuxième débat, et son information a été publiée dans la Gaceta n° 536 du 10 décembre 1999.
c. Le projet a été approuvé par la plénière du Sénat lors de sa session ordinaire du 16 décembre 1999, avec un quorum délibérant de 95 sénateurs sur 102, selon la loi n° 32, publiée dans les journaux du Congrès n° 603 du 24 décembre. de 1.999, et 566 du 21 décembre 1.999.
d. Le projet a été diffusé devant la Chambre des représentants sous le numéro 217/99 le 17 décembre de la même année ; Il a été déclaré à la Commission première du 25 janvier 2000 et a été désigné comme les représentants des représentants Odín Horacio Sánchez et William Darío Sicachá le jour du 2 mai 2000. La réponse au premier débat, en même temps que le dossier de modifications, a été publiée. dans la Gaceta del Congreso n° 151 du 19 mai 2000.
e. Le jour du 24 mai 2000, le projet a été approuvé, conjointement avec le projet de modifications, par 24 représentants, qui se sont conformés à la convention du Secrétaire général de la Commission première du 18 juillet 2000 (fl. 133), constituant la majorité absolue de la société. Ils ont été désignés pour un deuxième débat sur les représentants de la Sicachá et Sánchez, et leurs informations ont été publiées dans la Gaceta del Congreso n° 174, du 30 mai 2000.
f. Le projet, avec ses modifications, a été approuvé en deuxième débat lors de la séance plénière de la Chambre des représentants le 15 juin 2000 à l'unanimité des 138 assistants, selon la certification qui, comme elle l'a demandé, a été délivrée par le Secrétaire général. de la Caméra. Le texte approuvé a été publié dans le journal n° 231 du 23 juin 2000.
g. Conformément à l'article 186 de la Ley 5 de 1.992, elle a désigné une Commission Conciliatrice, qui a approuvé les modifications introduites dans le projet à la Chambre des Représentants.
h. Lors de la plénière du 19 juin, la Chambre des Représentants a examiné et approuvé à l'unanimité l'information de la Commission Accidentelle de Médiation. Il a également succédé à la séance plénière du Sénat le jour du 20 juin de la même année (fl. 14).
je. Le 21 juin de l'année même, le projet a été remis à la Cour constitutionnelle pour sa révision.
Par le passé, considérez la Cour que le projet remplit les exigences constitutionnelles et légales.
2.3. Obligatoire de consulter préalablement les groupes ethniques concernés.
Si bien que le projet soit révisé avec les exigences constitutionnelles pour le suivi des lois statutaires avant le Congrès, respectez la Cour qui, comme elle, le signale aux citoyens qui interviennent dans ce processus de représentation de l'Organisation nationale autochtone de Colombie (ONIC). ), est une norme qui est adoptée dans des conditions susceptibles d'affecter directement les groupes ethniques nationaux. Comme il se doit, l'établissement d'une circonscription spéciale pour garantir la participation des peuples autochtones et des communautés noires à la Chambre des Représentants, constitue une décision législative de grande influence sur la vie des histoires collectives, comme cela a été le cas pour cela. La circulation peut adhérer, dans des conditions plus équitables, à l'instance de décision centrale de l'État colombien.
Par le passé, il est indispensable de déterminer si, dans ce cas, l'État se trouve confronté à l'obligation de consulter les communautés concernant la mesure consacrée au projet, avant de procéder à son adoption par le Congrès. Pour cela, il est pertinent de faire une brève référence aux situations où il est nécessaire de réaliser la consultation préalable des groupes ethniques.
Conformément à l'article 6, chiffre 1, littéral a) de la Convention 169 de 1.989 de l'Organisation internationale du travail sur les peuples indigènes et tribaux dans les pays indépendants, ratifiée par la Colombie à travers la Loi 21 de 1.991, les États parties ont la obligation de consulter les groupes ethniques qui habitent sur leurs territoires, « via des procédures appropriées et en particulier auprès de vos institutions représentatives, chaque fois que se préviennent les mesures législatives ou administratives susceptibles de les affecter directement ». Asimismo, l'article 7 de la Convention reconnaît les histoires collectives « le droit de décider de ses propres priorités en ce qui concerne le processus de développement, dans la mesure où cela affecte nos vies, nos croyances, nos institutions et notre bien-être spirituel pour les niveaux qu'ils occupent ». Utiliser de quelque manière, et contrôler, dans la mesure du possible, son propre développement économique, social et culturel. En outre, ces citoyens doivent participer à la formulation, à l'application et à l'évaluation des avions et des programmes de développement nationaux et régionaux susceptibles de les affecter directement ».
De cette manière, il existe, en principe, un compromis international de grande ampleur, qui oblige l'État colombien à effectuer le processus de consultation préalable chaque fois qu'il prévoit une mesure, législative ou administrative, qui a la vertu d'agir en forme directe. a las etnias qui habitan en su territoire. En même temps, l'article 34 du même traité stipule: «La nature et l'opportunité des mesures qui sont adoptées pour l'effet de la présente Convention doivent être déterminées avec flexibilité, en tenant compte des conditions propres à chaque pays». Il est dit que l'instrument qui donne aux États parties une marge de discrétion importante pour déterminer les conditions dans lesquelles ils doivent s'acquitter des obligations internationales qui sont constantes ; bonjour, bien sûr, en faisant en sorte que les parties utilisent cette flexibilité sans avoir à s'acquitter de l'objet essentiel de leurs obligations qui, dans ce cas, consiste à assurer la participation efficace des groupes ethniques aux décisions que les conciernans : de lo contrario, se estaría dando al artículo 34 citado un alcance qui riñe con las normas más elementales sobre interprétation des traités, como la que consta in el artículo 31-1 de la Convención de Vienne de 1.96Aprobada mediante Ley 67 de 1.993, selon la cual « un traité doit être interprété par un bon interprète conforme au sentiment corriente que haya de atribuirse a los terminos del tratado in el contexto de éstos y teniendo en cuenta su objeto y fin” (subraya fuera del texto).
Dada la configuration constitucional de l'État colombien, les organismes indiqués pour déterminer quand et comment se doivent de remplir avec la ville l'obligation internationale sont, en principe, la Constituante et le Législateur, parce que c'est, par excellence, les canaux d'expression de la voluntad soberana del pueblo (art. 3, CN). En conséquence, la Cour constitutionnelle, au moment de déterminer si le résultat est obligatoire pour effectuer la consultation préalable des groupes ethniques, doit être soumise aux lignes constitutionnelles et juridiques existantes, ces derniers dans la mesure où ils ne détournent pas l'objet et la finalité de la convention pluricitado. , ni contraríen la pleine vigilance des droits fondamentaux des contes ethniques.
La Constitution a seulement reconnu explicitement l'obligation de consulter un préalable en supposant qu'il soit prévu par le paragraphe de l'article 330, à savoir :
« L’exploitation des ressources naturelles sur les territoires autochtones se fera sans atteinte à l’intégrité culturelle, sociale et économique des communautés autochtones. Dans les décisions qui seront adoptées concernant cette exploitation, le gouvernement favorisera la participation des représentants des communautés respectives ».
Sur la base de cette disposition, la Cour, dans la sentence SU-039 de 1.997 (député Antonio Barrera Carbonell), a déterminé que « la participation des communautés autochtones aux décisions qui peuvent affecter en relation avec l'exploitation des ressources naturelles officie comme particularité (…) que la référence à la participation, grâce au mécanisme de consultation, qui confère la connotation de droit fondamental, peut devenir un instrument fondamental pour préserver l'intégrité ethnique, sociale, économique et culturelle des communautés autochtones et para asegurar, por ende, su subsistance como grupo social » (subraya fuera del texto). En d’autres termes, les peuples autochtones ont un droit fondamental à consulter dans ces cas particuliers, non seulement pour consulter une manifestation de leur droit fondamental - individuel et collectif - à la participation, mais pour constituer le médium à travers chaque personne. protégera, dans ces cas, son intégrité physique et culturelle ; en ce qui concerne le sens spécifique, cette société a confirmé, dans la même opportunité, que la Convention 169 de l'OIT est conforme à l'article 40-2 Supérieur, un bloc de constitutionnalité, en vertu du différend relatif aux articles 93 et 94 de la Carte. Mais pour ce qui est des autres, il n'existe aucune disposition constitutionnelle qui soit renvoyée à la consultation préalable dans les cas différents mentionnés ; vale decir, la Constitution garde silence en ce qui concerne les mesures, législatives ou administratives, qui sont adoptées en hipotesis distinctes pour l’exploitation des ressources naturelles dans les territoires autochtones.
Le Législateur, de son côté, s'est occupé du sujet dans l'article 76 de la Loi 99 de 1.993, qui a reproduit l'essentiel du litige dans le paragraphe de l'article 330 Supérieur, en élargissant sa portée aux cas de projets dans les territoires des communautés noires. :
« L’exploitation des ressources naturelles doit se faire sans égard à l’intégrité culturelle, sociale et économique des communautés autochtones et des noirs traditionnels conformément à la loi 70 de 1.993 et à l’article 330 de la Constitution nationale, ainsi qu’aux décisions relatives à la materia se tomarán, previa consulta a los representants de tales comunidades. La réalisation de la consultation préalable sur l'hypothèque d'exploitation des ressources naturelles sur les territoires ethniques, est réglementée au niveau réglementaire par le décret 1320 de 1.998. .
À votre avis, la Ley 70 de 1.993 a précédé la réalisation de consultations auprès des communautés noires en trois hipotesis: a) dans la définition du plan de gestion des zones du système de parcs nationaux naturels, lorsque ceux-ci se rencontrent des familles ou des personnes de comunidades negras que desarrollen practicas tradicionales (art. 22); b) dans la définition de l'organisation et du fonctionnement des programmes spéciaux de formation technique, technologique et professionnelle pour les membres des communautés (art. 38); yc) dans la conformation de l'« unité de gestion de projets » qui tendra à exister dans les fonds étatiques d'inversion sociale, pour l'appui des communautés noires dans les processus de capacité, d'identification, de formulation, d'exécution et d'évaluation de projets (art. . 58). De plus, la mention est établie, dans l'article 44, que « comme mécanisme de protection de l'identité culturelle, les communautés noires participent à la conception, à l'élaboration et à l'évaluation des études d'impact ambiant, socio-économique et culturel, qui se réaliser des projets qui prétendent être appliqués dans les domaines qui se réfèrent à cette loi ».
Ce qui résulte d'une importance particulière pour le cas présent, c'est que ni la Constitution, ni le Congrès, ont prévu la réalisation de la consultation préalable lorsqu'ils ont adopté des mesures législatives comme celles qui sont étudiées. Avant le silence normatif, il faut entendre que, à ce moment-là, le pouvoir d'attribuer aux organismes représentants du peuple colombien l'obligation qui est inscrite dans l'article 6 de la Convention 169 de l'OIT, est de consacrer la consultation préalable comme une procédure obligatoire pour les hipotes spécifiques est prévue. Selon les critères de la Cour, on ne reconnaît pas les limites de la discrétion qui est accordée à ses États parties, mais chacune d'elles prétend combiner la protection du territoire en ce qu'elle habite son appartenance ethnique et la sauvegarde de son identité particulière, par un. parte, avec le fomento de votre participation, par ailleurs; lo cual, a todas luces, satisface el objetivo principal del Convenio referido. L’amplification des suppositions dans cette procédure est obligatoire, tendra à faire l’objet d’une réglementation future légale.
En conclusion, il n'est pas possible d'affirmer que le projet de loi statutaire a été révisé sous peu en raison de la procédure de consultation préalable des groupes ethniques, mais qu'il n'est pas possible de cataloguer moins d'hypothèques indiquées ici. C'est pour cette raison que la réalisation d'une consultation de cet emploi sera pratique et souhaitable, et que, lors de l'événement de réalisation, elle devra répondre avec une solide réponse à l'ordre supérieur. Sans embargo, la Cour doit prescrire comme obligatoire une procédure déterminée, qui n'a pas été prévue ni par la Constitution, ni par la Loi, pour le cadre des projets normatifs avant le Congrès de la République, beaucoup plus traité d'une loi statutaire. , les exigences procédurales sont encuentran fiscalement énumérées dans les articles 153 et 157 de la Charte. En d’autres termes, échappez-vous à la compétence de cette société pour la création de choses qui ne envisagent pas l’ordonnance positive, en particulier dans les cas comme le présent, dans les dispositions internationales qui refuerzan la libre appréciation du législateur en la matière (cf. art. 150-1, CP)
Pour les raisons antérieures, vous devrez reprendre la cargaison formulée par les représentants de l'ONIC. Mais, sans embargo, il n'y a pas d'obstacle à ce que, dans l'avenir, le législateur s'occupe régulièrement de la matière, avec toute l'ampleur qui permet à la Convention 169 de l'OIT - pour l'exécuter, de sorte qu'il soit pressé, dada la importance du thème-; en conséquence, vous devrez comprendre que ce qui est dit en ce qui concerne l'obligation de consulter préalablement dans les cas de mesures distinctes aux prévisions du paragraphe de l'article 330 supérieur et des dispositions légales vigentes, doit être appliqué uniquement au titre d'une réglementation. partie intégrante de la matière pour la part du Congrès.
3. Aspects importants
Pour les effets d'organisation, procédez à l'examen du contenu du projet par le tribunal, en suivant l'ordre successif de votre article.
3.1. Généralités : démocratie participative, pluralisme et matériel igualdad.
Le premier article du projet est un desarrollo direct du litige dans l'article 176 Supérieur, qui a otorgó au Législateur le potestad d'établir une circonscription spéciale pour garantir la participation des groupes ethniques, des minorités politiques et des résidents colombiens à l'extérieur, en la Chambre des Représentants ; en effet, pendant que l'incise première crée une circulation, et l'incise secondaire effectue la distribution des cinq curules qui doivent être conformes. Pour le Tribunal, il est clair que l'adoption de cette mesure contribuera, en forme définitive, à la matérialisation de diverses valeurs et principes constitutionnels, en particulier à la démocratie participative, au pluralisme et à l'égalité, comme elle se verra ensuite.
En premier lieu, il est indiscutable que la participation est un élément structurel important pour l’ordre constitutionnel colombien ; Ainsi, conformément au préambule et aux articles 1 et 2 de la Charte, c'est l'un des principes fondamentaux de l'État et, en même temps, l'une des fines essentielles doit orienter votre activité. Par conséquent, n'importe quel moyen destiné à renforcer la participation compte, l'entrée, avec une entreprise inscrite dans la Constitution.
Dans les régimes démocratiques, définis formellement comme ce qui concerne les destinations des normes qui sont les choses que les producteurs (Sentence C-145 de 1.994, député Alejandro Martínez Caballero), un des moments les plus sobres saillants est la conformation, un grâce aux mécanismes électoraux, aux institutions qui ont pour mission de canaliser la volonté populaire, en particulier le Congrès de la République. Le projet sous-révisé oriente vers la consolidation de cette modalité de participation, car pour créer la nouvelle circonscription électorale, il faut déterminer les groupes sociaux d'un outil indispensable pour acquérir une voix directe à la Chambre des Représentants et, à travers elle, exercer En effet, son droit fondamental est de participer à la conformité, à l'exercice et au contrôle du pouvoir politique, consigné par l'article 40 de la Charte en tant que manifestation active de la qualité de la ville colombienne. Cela confirme la relation intime qui existe entre la démocratie participative et le pluralisme, le principe qui est introduit, ainsi, entre les règles du jeu politique.
La Cour a dit que « le pluralisme établit les conditions pour que les contenus axiologiques de la démocratie constitutionnelle aient une place et un fondement démocratique. Il est dit que l’option populaire et libre pour les plus grandes valeurs est formellement justifiée par la possibilité d’écoger sans restriction d’autres valeurs, et matériellement par la réalité d’une éthique supérieure » (sentence C-089/94, ibidem). En cette même opportunité, il y a un signal que la démocratisation de l'État et de la société qui prescrit la Constitution, se trouve liée à un mouvement progressif de construction historique, pendant ce qui est indispensable à la fonction publique, et avec le système politique. , estén ouvert à la reconnaissance constante de nouveaux acteurs sociaux. En conséquence, seul un État démocratique, représentatif et participatif peut s'efforcer de faire en sorte que la composition formelle et matérielle du système garde une correspondance adéquate avec les diverses forces qui se conforment à la société, et qu'elles permettent, à toutes elles, de participer à l'adoption de las Decisiones que les Conciernan. Cela est particulièrement important dans un État social de droit, qui se caractérise par l'existence d'une profonde interrelation entre les espaces, traditionnellement séparés, de l'État et de la Société civile, et qui prétend dominer la conception traditionnelle de la démocratie. , vista simplement comme le gouvernement formel des maires, pour mieux comprendre la réalité et inclure dans le débat public, en tant que sujets actifs, dans les différents groupes sociaux, minoritaires ou dans le processus de consolidation, en favorisant ainsi leur participation aux processus de toma de décisiones a todo niveau.
Dans d'autres termes, la relation inéluctable qui s'établit entre le pluralisme et la participation à une démocratie constitutionnelle comme la Colombie, est comme conséquence immédiate de la nécessité que le système représentatif reflète au maximum, dans sa conformation, les différentes alternatives politiques qui plantent le société; en particulier lorsque l'article 133 de la Charte dispose, expressément, que «les membres des corps collégiaux de l'élection directe représentent le peuple et doivent agir en consultant la justice et le bien commun». C'est cette représentation sociale qui, sans aucun doute, est légitime pour les sociétés d'élections populaires comme le Congrès de la République, les gens, pour cette même raison, doivent s'opposer à la participation effective, tant pour les secteurs traditionnellement marginalisés du public, comme les formes minoritaires et les différentes organisations sociales -catégories fréquemment superpuestas-.
Le projet à réviser constitue une étape certifiée en direction de l'objet. D'une part, indiquez la composition de la Chambre des Représentants, en tant que voix efficace en tant qu'entreprise dans quatre catégories sociales qui ont en commun le chef d'occuper une position marginale en face des instances de décisions nationales et qui, dans ce sentiment, peut être définir les vraies « minorités », depuis le point de vue politique, ethnique et social. Par ailleurs, nous avons développé la notion classique de la citoyenneté en tant qu'attribut formel d'individus abstraits, en admettant qu'une partie essentielle et constitutive de la subjectivité humaine est due à la propriété d'un groupe déterminé, et que, dans certains cas, comme les Les peuples autochtones et les communautés noires ont une grande importance pour les individus qui partagent, qui constituent le cadre de référence de leur vision du monde et de leur identité, pour ce qui est du statut d'un homme social digne d'être reconnu et protégé avec des moyens qui, comme cela, vont plus loin que la simple rétórica.
Avec cela, vous aurez un effet doublement bénéfique. Premièrement, il contribuera à consolider le Congrès en tant qu'articulateur de la diversité matérielle qui caractérise le peuple colombien. Deuxièmement, se matérialisera l'une des principales conditions de possibilité, non seulement de la participation effective des groupes ethniques dans la conception des politiques nationales, mais aussi de leur existence en tant qu'associations identitaires différentes, ce qui est au Congrès qui veut rivaliser, En premier lieu, adoptez les décisions tendant à coordonner l'interrelation armonique des distinctions culturelles qui existent dans le pays -par exemple, à travers l'expédition de la Ley Orgánica de Ordenamiento Territorial-, afin de prendre les mesures qui favorisent les groupes que, comme c'est le cas, je l'ai fait traditionnellement marginados des beneficios qui conlleva l'insertion activa dans la vida naciona. Sentence SU-225/98, du député Eduardo Cifuentes Muñoz. L'amisisme, en ce qui concerne les minorités politiques, permettra que ces derniers s'inscrivent dans le forum démocratique, en enriqueciendo le débat législatif comme porte-parole des intérêts sociaux légitimes; et en touchant les résidents colombiens à l'extérieur, cela ne facilitera pas seulement l'expression de ses multiples et diverses nécessités lors du passage d'un représentant commun à la Chambre, si cela fomente votre processus organisationnel, ce qui est particulièrement important dans un Un moment historique en ce sens, pour diverses causes convergentes, où le centre de la population colombienne se rencontre sur des territoires étrangers. Ponencia para deuxième débat au Senado de la República del proyecto de ley qui est révisé. .
Enfin, vous devez vous assurer que le projet se trouve en conformité avec le principe constitutionnel de l'égalité. Il est notoire que, dans le contexte social colombien, les différences et les différences se croisent et se superposent à d'autres, transformant certains groupes en secteurs particulièrement vulnérables. Ainsi, comme les différences dérivées de l'identité ethnique, de l'origine « raciale » ou de l'affiliation politique, coïncident, par des facteurs historiques, avec les désigualdades dans l'accès aux ressources économiques et à la participation au secteur public, générant un cercle vicioso de les causalités réciproques qui agissent toujours au détriment de la collectivité en question. Le cas des communautés autochtones et noires est, à cet égard, paradigmatique : localisées, comme la réglementation générale, dans la périphérie géographique et économique du pays, qui ont des niveaux élevés de pauvreté et de marge économique. Par ailleurs, il est immédiatement disponible entre les groupes qui, en raison de leurs conditions d'indéfensión, bénéficient d'une protection spéciale de la part de l'État, de conformité avec le litige de l'article 13 supérieur. En ce sens, le projet sous-révisé est une mesure valable de discrimination positive, ce qui permet d'attribuer aux catégories sociales déterminées une situation formellement plus avantageuse que la généralité des Colombiens - qui n'ont pas une circonscrition spéciale à leur faveur -, comme moyen. pour contrecarrer les exigences matérielles que les aquejans et enregistrer, ainsi, une grande possibilité d'accéder aux bénéfices qui correspondent justement.
Visto, donc, que la méthode adoptée est, en l'essentiel, un reflet de la Constitution, doit être précis que la création de cette circulation spéciale n'est pas impide aux individus qui appartiennent à chaque catégorie de quatre catégories contemplées - groupes autochtones, communautés noires , les minorités politiques ou colombiennes résidant à l'extérieur se présentent comme des candidats à la Chambre des Représentants dans le cadre de la circonscription territoriale générale qui a précédé le même article 176 Supérieur, car l'élection entre une autre circonscription forme une partie du noyau essentiel de son droit fondamental a elegir y être elegido para ejercer funciones públicas (art. 40-1, CP).
3.2. La distribution des curules
3.2.1. Discrétion du législateur
La Constitution a fixé la circonscription spéciale en ce qui concerne une limite maximale de cinq curules, exigeant du législateur la liberté de distribution selon son critère majeur. Il était inévitable que cinq des curules à repartir, et quatre groupes de bénéficiaires, un de ceux qui étaient avec leurs représentants, et les autres avec un; à la poste, les communautés noires seront les élégantes pour être titulaires d'une double représentation. Appelez l'attention du Tribunal, en ce sens, la cargaison formulée par la Direction Générale des Asuntos Indigènes du Ministère de l'Intérieur, selon la distribution de la loi de l'article 13 de la Charte, « parce que les peuples indigènes de Colombie se trouvent localisés dans environ 27 départements, et dans la plupart des cas, la présence autochtone dans certaines régions du pays est la mairie en face de la population d'autres groupes ethniques, ce qui signifie que la représentation des peuples autochtones dans la composition de la Chambre des Représentants série inéquitable.”
La question qui se pose à cette société est donc que le choix du groupe préféré soit respectueux du principe constitutionnel de l'égalité. Depuis un point de vue strictement géographique ou numérique, l'argument de l'intervalle ne peut pas prospérer, car de la même manière que les autochtones, les communautés noires - qui ne sont pas formellement constituées en tant que contes - sont diffusées à tout l'autre de territoire colombien, et dans certains départements supern en nombre a los indigènes. Sans embargo, pour répondre adéquatement à l'interrogant signalé, vous devez faire référence au thème des droits des communautés noires dans tant de groupes ethniques, car c'est la qualité réelle que vous envisagez pour le projet sous une révision, qui fait l'objet d'un travail différent en termes de constitutionnalité. se questionne.
3.2.2. Les communautés noires sont des groupes ethniques.
Mais surtout, ce qui concerne la circonscription territoriale générale, les communautés noires du pays n'ont pas de représentation au Congrès, ce qui constitue un secteur important de la population colombienne qui, dans de nombreuses opportunités, a été reconnu par le législateur comme le un groupe ethnique spécial. En effet, tant la loi 70 de 1.993 (qui définit l'article transitoire 55 de la Charte), comme la loi 99 de même année (sur la protection du milieu ambiant), ainsi que la loi 199 de 1.995 (qui organise le ministère de l'Intérieur ), partie de la reconnaissance pour obtenir une série de droits aux mencionadas collectividades, définis dans l'article 2-5 de la Ley 70/93 comme « le groupe de familles d'ascendance afrocolombienne qui pose une culture propre, partage une histoire et a ses propres traditions et costumes dans la relation campo-poblado, que révèlent et conserve la conscience de l'identité que les distinguent (sic) des autres groupes ethniques.
Cette reconnaissance générale, comme conséquence immédiate, que les communautés noires acquièrent le titre de droits collectifs similaires à ceux des communautés autochtones, avec les différences d'impuests par leurs spécificités culturelles et leur régime juridique propre. Ce qui est le plus important, c'est qu'ils acquièrent les droits qui consacrent la Convention 169 de l'OIT, avec l'article 1 de la règle :
"1. Le présent Convenio est appliqué :
a) pour les villages tribaux dans les pays indépendants en ce qui concerne les conditions sociales, culturelles et économiques les différents secteurs de la collectivité nationale, et qui sont régis totalement ou partiellement par leurs propres costumes ou traditions ou par une législation spéciale ;
b) aux villages des pays indépendants, considérés comme autochtones par le descendant de la population qui habite dans le pays ou dans une région géographique à laquelle appartient le pays à l'époque de la conquête ou de la colonisation ou de l'établissement des frontières actuelles les États et tout ce qui concerne votre situation juridique conservent toutes vos propres institutions sociales, économiques, culturelles et politiques ou une partie de celles-ci.
2. La conscience de l’identité autochtone ou tribale doit considérer un critère fondamental pour déterminer les groupes qui appliquent les dispositions de la présente Convention.
En ce qui concerne cette définition particulière, il est à noter que le terme « tribal » peut difficilement s'entendre dans le sens restreint d'un « tribu ». Ce concept fait partie de la typologie propre aux théoriciens de l'anthropologie sociale, qui divisent les sociétés humaines en « bandes », « tribus », « cacicazgos » et « États », dépendant de leur stade de complémentarité ; Lors d'un débat sur la validation universitaire de ces catégories, il est certain que le Tribunal doit accepter, en tant que partie du droit qui s'applique, une position théorique déterminée. Par conséquent, il est plus approprié d’interpréter le terme « tribal » dans le sens large de celui qui a des entités multilatérales comme la Banque mondiale, le même, dans sa directive opérationnelle n° 4.20 de septembre 1.991, sur les politiques institutionnelles concernant les projets. qui affectent les villages autochtones, en particulier les termes « villages indigènes », « minorités ethniques indigènes » et « groupes tribaux » se réfèrent, en général, aux groupes sociaux qui partagent une identité culturelle distincte à la société dominante.
Ainsi, en synthèse, la norme internationale en matière de référence fait référence aux exigences qui doivent concourir à l'heure de l'établissement qui peut être considérée comme ses bénéficiaires : (i) Un élément « objet », à savoir l'existence de rasgos culturales et sociales partagées par les membres du groupe, qui font la différence entre les autres secteurs sociaux, et (ii) un élément « subjectif », c'est-à-dire l'existence d'une identité de groupe qui permet aux individus de s'assumer comme membres de la collectivité. question.
De la définition légale qui consagra l'article 2-5 de la Ley 70/93, se veut que les communautés noires se réunissent avec cette double condition, et pour finir se retrouvent sous le supposé normatif de la Convention mentionnée. Cette définition, ainsi que l'établissement d'un régime spécial de protection de la culture et de l'identité des communautés, constitue la seule reconnaissance juridique d'un processus social qui a été fort au cours des années récentes, et qui est largement observable dans diverses régions du pays. , à savoir, la consolidation d'un groupe populaire qui est autodénommé « nègre », à partir de différents types d'organisations locales qui, partant de la base de certaines conditions d'existence et d'une identité collective créative, a pour résultat d'apporter à la société de promouvoir mancomunadamente la défense de ses intérêts, historiquement méconnaissable, alors qu'il n'était pas vulnérable frontalement, par la société majoritaire. Il s'agit donc d'un acteur social émergent, qui n'est pas dans le sens d'être un phénomène exclusif de cette époque - donc les communautés noires commencent à configurer les premiers temps de l'esclavage dans notre pays, lorsqu'elles établissent les « palenques ». », des villages d'esclaves fugitifs ou des « cimarrones », et ils entament les bases pour que ce jour-là apparaisse comme une culture propre, sino en ceanto se trata d'un grupo qui seul dans les dernières décennies pourrait prendre la place d'organiser plus partout. de l’ambition locale ou régionale. Dans cet ordre d’idées, la reconnaissance de ces communautés, au niveau national, en tant que « groupe ethnique », est un présupposé indispensable pour votre insertion adéquate dans la vie politique et économique du pays. Par cette même raison, votre double représentation dans la Chambre des Représentants, est une mesure de différence qui a une solide raison d'être dans ses conditions matérielles d'existence, conformément à l'article 13 de la Charte, et aux dispositions pertinentes de la Convention 169 de l'OIT
Il faut s'assurer, c'est vrai, que la reconnaissance des droits spéciaux des communautés noires n'a pas la fonction de leur « race », ce qui implique qu'il existe dans un pays un degré élevé de métissage comme la Colombie. aún « razas puras », c'est que toutes les lumières sont inacceptables, et il y aura des futures distinctions (odiosas) entre quiénes se doivent de considérer la « raza negra » et quiénes non, pour accéder aux effets qui s'offrent à eux ; avec cela, il y a une rétrocession à l'État colombien à l'époque des grandes classifications coloniales basées sur les distinctions de degré de sang, qui soutiennent un vrai système de castes exclusives, même frontalement incompatible avec une démocratie constitutionnelle. C'est plus que ce n'est qu'un fait reconnu que la catégorie « rasage » a été fondamentalement réévaluée par les sciences sociales, car une classification similaire des citoyens colombiens ne pourrait pas être l'objet d'une circonscription électorale comme celle qui est examinée, mais que l’article 176 de la Charte a uniquement pour référence les groupes ethniques, et non les groupes « raciaux ». Pour cette raison, il faut que les droits collectifs des communautés noires en Colombie soient une fonction de leur statut en tant que groupe ethnique, porteur d'une identité propre qui est digne d'être protégée et réelle, et non de la couleur de la peau. sus intégrants.
En fin de compte, il est pratique de signaler que, pour les effets du projet en basse révision, le terme « communautés noires », comme l'indique l'article 1 de la Ley 70 de 1.993 en consonance avec l'article Transitoire 55 de la Constitution, se réfère tant à ce qui habite dans la Cuenca du Pacifique colombien, comme celui qui est situé dans d'autres points du territoire national et planifie avec les deux éléments reseñados. L'asimitisme, à la suite d'une mention exprimée, doit être compris dans les dires des « communautés noires », pour tout ce qui est lié à la circonscription spéciale qui est étudiée, aux agrupaciones Raizales de l'archipel de San Andrés et Providencia, ces dernières ne sont pas seules. partager avec les premières une origine historique commune dans les races africaines qui seront transplantées en Amérique, sino que han sido reconnus par cette entreprise, en accord avec l'article 310 de la Charte, comme un groupe ethnique titulaire de droits spéciaux (cfr. phrases C -530/93, T-174/98 et C-1022/99, député Alejandro Martínez Caballero) ; de même, la participation à la Chambre des Représentants ne peut pas être raisonnablement exclue de cette circonscripción.
3.3. Conditions de résidence dans le pays
Le paragraphe de l'article premier du projet, dispose que celui qui en résulte est élu comme représentant des colombiens résidents à l'extérieur doit résider sur le territoire national pendant qu'il transporte sa cargaison de représentant. Selon les critères de la Cour, il s'agit d'une mesure logique et raisonnable, qui si l'élégant doit accomplir pleinement les fonctions propres à sa cargaison (art. 122, CP) et, entre autres, l'obligation élémentaire d'assistance à les sessions législatives doivent nécessairement résider dans le pays. De même, il sera déclaré l'exequibilité de cette disposition, déclarant que l'établissement de ces exigences ne peut pas constituer une aventure pour ceux qui résultent des elegidos de la circonscription spéciale de l'ESA, devant les autres membres de la Chambre des Représentants, en le sentido de empêcher que les premiers sean soient légitimes, si les résultats de leur gestion sont américains ; es decir, se doit comprendre que este es un requisito cuyo cumplimiento doit être previo a la primera vez que tales candidats se postulen.
3.4. Conditions qui doivent remplir les candidats qui se postulent pour cette circonscripción spéciale.
Il est important de signaler que, conformément à l'article premier du projet, il s'agit d'une disposition spéciale de portée nationale. Cela implique qu'il a été créé et organisé, non en fonction d'un territoire déterminé, si des groupes sociaux ont participé à la promotion, et qu'ils sont distribués dans tout le pays, comme dans le cas des colombiens résidents dans le pays. extérieur, por todo el globo. La qualification nationale, également, que cette circonscription soit ouverte à la participation de tout l'électeur ; est décidé, que tout colombien, pertenezca ou non à certains des quatre groupes qui envisagent la norme, peut voter pour les candidats qui se postulent à son passage, la différence de ce qui se produit dans la circonscription territoriale ordinaire de la Chambre des Représentants , pour chaque personne, vous pouvez voter les habitants du territoire correspondant.
La possibilité pour tout citoyen de participer, comme électeur, dans cette circonscription, de trouver un soutien constitutionnel, dans la mesure où, si bien se prétend doter d'une représentation auprès de certains groupes spécifiques, pour cela est indispensable, en vertu de l'article 1 de la Charte. , consultar el interés general, dentro del cual se entiende include el interés particulier de tales colectividades; pour cela, il est nécessaire que la totalité des citoyens décident de faire sortir cette cargaison. La reconnaissance de la possibilité constituée, en outre, une application directe du principe herméneutique de maximisation des droits fondamentaux, car le Tribunal peut faire en sorte qu'il soit étendu à la circonscription spéciale, une restriction du droit à la participation qui est propre aux circonscriptions territoriales. et les paramètres régionaux, et qui suivent votre logique spécifique. Il n’est pas possible de comprendre que les normes qui affectent les droits en matière d’interprétation restrictive, mais que ceux qui reconnaissent doivent être l’objet de l’interprétation la plus large possible ; et il ne peut pas exclure ce principe herméneutique du droit fondamental de participation.
En conséquence, si tout le Colombien peut voter pour les candidats des peuples autochtones, les communautés noires, les minorités politiques ou les résidents colombiens à l'extérieur pour la Chambre des représentants, il est indispensable que la loi établisse certains critères requis pour que les gens doivent remplir leurs décisions. postulants, pour garantir qu'ils représentent les intérêts réels des groupes en question, et éviter ainsi la dénaturalisation de cette circonscripción spéciale.
Concernant le thème des conditions imposées par la loi à ceux qui aspirent à participer comme candidats aux élections, l'article 108 de la Constitution dispose le suivant : a) d'une part, les partis et mouvements politiques avec personne juridique, peuvent inscrire les candidats sans requis supplémentaire pour un autre ; yb) en cas de mouvements sociaux et de groupes significatifs de citoyens qui souhaitent postuler des aspirants, « la loi peut établir les conditions requises pour garantir la série des inscriptions de candidats ». Il est décidé que, en principe, le législateur peut seul signaler les conditions qui doivent remplir les candidats qui se présentent avec la responsabilité des mouvements sociaux ou des groupes de citoyens, et non ceux qui doivent se postuler pour la responsabilité d'un parti ou d'un mouvement. politique avec la personne juridique, qui ne peut pas imposer des exigences ultérieures.
Sans embargo, respectez la Cour qui, en ce qui concerne la circulation spéciale à réviser, est réglementée par un devoir de matizar, car, comme on le dit, la garantie de ceux qui participent aux élections à travers elle par un représentant adéquat des Les intérêts des minorités objet du bénéfice, sont là, essentiellement, pour les exigences que les contes aspirants doivent apprendre au moment du postulaire. Et comme il n'y a aucun obstacle à ce que les membres de ces groupes constituent des partis ou des mouvements politiques, spécifiquement destinés à faciliter votre participation au Congrès à travers cette circonscrition, ils doivent admettre que la loi trace un minimum d'exigences qui doivent amener tous les aspirants, bien sûr, ils postulent un titre individuel (responsable d'un nombre significatif de citoyens), comme membres d'un parti ou d'un mouvement politique, ou apposés par un mouvement social. Par ailleurs, vous devrez accepter que, dans ce cas, le législateur contacte la faculté de commerce des conditions nécessaires pour assurer votre représentation.
Conformément au litige relatif à la sentence C-089/94, arriba citada, les exigences imposées par la loi aux candidats doivent être caractérisées par être raisonnables et par aucune obstruction de manière gênante pour l'exercice des droits politiques ; et cette rationalité doit être évaluée en conformité avec les « minimes historiquement durables à un moment donné », c'est-à-dire avec les circonstances concrètes qui affectent la participation réelle des groupes représentés à un point déterminé de l'histoire. Dans cet ordre d'idées, la Cour procédera à l'étude de la rationalité des exigences établies dans le projet de loi de base, pour chacune des catégories qui font l'objet de votre réglementation.
3.4.1. Candidats des communautés autochtones
Disponibilité de l'article 2 du projet selon lequel « les candidats des communautés autochtones qui aspirent à être élus à la Chambre des représentants dans cette circonscripción doivent être expulsés d'une cargaison d'autorité traditionnelle ou avoir le statut de dirigeant d'une organisation autochtone, qualité qui est accréditée à travers un certificat. de l’organisation respective recommandée par le Ministère de l’Intérieur ». Selon le critère des citoyens qui interviennent auprès de la représentation de la Dirección General de Asuntos Indigènes du Ministère de l'Intérieur, ces exigences ne sont pas adéquates, donc, à nos propres fins, «se doivent tenir en compte en priorité la qualité des autochtones, l'autorité Traditionnellement, il fait partie du Cabildo et n'a pas le caractère de dirigeant d'une organisation autochtone, dont l'exercice est seulement gagné par la communauté ou le peuple à travers la figure du Cabildo et/ou par la reconnaissance de sa communauté à celui qui correspond à l'accréditer. qualité, dado que de conformidad con el Decreto 2150 de 1.995, les organisations autochtones sont enregistrées auprès des chambres de commerce et de la Direction générale des affaires autochtones et relèvent uniquement le registre des associations et des organismes qui traitent le décret 1088 de 1.993.
En particulier, observez la Cour selon laquelle l'article en ce qui concerne la consagra des exigences identiques à ceux qui envisagent le cinquième incisif de l'article 171 de la Constitution, pour qui aspirent à être des sénateurs élus par la circonscription autochtone spéciale qui va se consacrer. Ces exigences, en plus d'être raisonnables - pour être orientées vers la sélection de celui qui connaît le mieux les intérêts et les problèmes des communautés autochtones colombiennes -, sont celles qui sont les plus concernées par le principe de l'igualdad, ce qui ne justifie pas l'imposition de conditions différentes. pour les sénateurs et les représentants autochtones, si les autres agissent en faveur des communautés autochtones du pays et, pour ces effets, il n'existe pas de différence significative entre les deux chambres législatives. Il n'est donc pas vrai que les arguments de l'intervenant sont beaucoup moins nombreux à prétendre contester une fonction qui est directement attribuée à la Charte du Ministère de l'Intérieur (la référence aux certificats expédiés par les organisations autochtones sur la qualité du dirigeant de celui qui est postule). como candidato a elecciones), avec base en arguments qui dérivent du différend en actes administratifs comme les décrets qui se citent. Par ailleurs, la cargaison sera chargée et l'article révisé sera déclaré exécutable.
3.4.2. Candidats des communautés noires.
Conformément à l'article 3 du projet étudié, ceux qui aspirent à être des candidats de la communauté noire doivent remplir les conditions requises : a) être des membres de la communauté respective, et b) avoir été préalablement avalés par une organisation inscrite à la Direction de la Asuntos. de Comunidades Negras del Ministryio del Interior.
Il est à noter que ces exigences sont beaucoup moins exigeantes que celles qui sont établies pour les candidats des communautés autochtones, ce qui fait que ces personnes ont besoin d'occuper une charge d'autorité traditionnelle ou de faire partie des dirigeants d'une organisation, les candidats des Les communautés noires doivent seules accréditer la qualité des membres du groupe et contacter l'aval d'une organisation. Se pregunta la Corte, donc, si ello resulta lesivo de la igualdad; interrogante parce que la réponse doit être négative, car si vous utilisez les critères de raison sociale historiques cités, vous observerez que le processus organisationnel des communautés noires, plus dans l'environnement local ou régional, se présentera dans vos premières phases, contrairement à ce qui se produit avec les autochtones, qui ont une organisation solide au niveau national et départemental. Il est clair que la consécration de ces exigences, les plus flexibles, constitue une reconnaissance de la réalité spécifique des groupes noirs, et par ailleurs, elle est conforme à la Charte.
Compte tenu des conditions de participation d'une organisation inscrite à la Direction des Communautés Noires du Ministère de l'Intérieur, considérer la Cour qui est une condition nécessaire pour connaître la pleine certitude que les candidats ont effectivement été élus. une grande agrégation. La Dirección en comento, de conformité avec le décret 2248 de 1.995 (art. 15), est chargée de relever le registre unique national des organisations de base des communautés noires (c'est-à-dire de toutes les organisations qui, selon l'article 20 -1 du décret cité, « Actúan a niveau local, reivindicando and promoviendo los derechos territoriaux, culturels, économiques, politiques, sociaux, ambiants et la participation et les décisions autonomes de ce groupe ethnique ».) Par la même, se traite de une condition raisonnable, qui prétend faire un minimum de série et La véracité de l'inscription de ces candidats, bien plus dans un moment historique dans lequel l'organisation des communautés noires a commencé à se consolider, et il montre les instances qui, comme la dépendance citée, disposent d'informations centralisées et fiables sur le matière.
3.4.3. Candidats des minorités politiques
Dada la définition particulière selon laquelle ces minorités adoptent le projet sous révision, ne peut pas être confirmée qu'il existe des exigences spécifiques avec celles qui doivent cumuler ceux qui aspirent à être leurs représentants, pour la raison pour laquelle la qualité de la minorité politique sera définie a posteriori, avec base sur les résultats des élections à la Chambre des Représentants de la circonscription territoriale générale. En effet, l'article 4 du projet prévoit que « pouvoir adhérer à un curul » dans cette circonscription, les mouvements ou partis politiques qui planifient avec les exigences suivantes : a) Avoir des candidats présentés à la Chambre des représentants, comme au minimum dans un 30% de les circonscriptions territoriales; b) Ne pas avoir à obtenir de représentants à la Chambre en dicha votación ; yc) Que le vote municipal qu'il a obtenu dans un même département ou circonscription territoriale, soit moins que le 70% de la somme de son vote dans tout le pays. S'il existe plus d'un groupe qui remplit ces conditions, il assignera le curul à celui qui a obtenu le vote du maire agrégé, et la liste correspondante sera conforme aux têtes de liste qui ont obtenu le vote du maire entre les inscrits pour le respectif du parti ou du mouvement dans tout le pays. En conséquence, les conditions qui doivent être posées à ces candidats sont, en principe, les mêmes qui s'appliquent à la généralité des aspirants par circonscription territoriale.
L'article 176 Supérieur n'a pas adopté une définition de ce qui doit être considéré comme une « minorité politique » ; il est décidé que le législateur a la liberté de déterminer qui sera le bénéficiaire de ce curul. Sur cette base, observez le Tribunal que le Congrès a établi dans les limites de sa discrétion pour considérer les « minorités politiques » et les partis ou mouvements qui, ayant participé aux élections, n'ont pas obtenu les votes nécessaires pour discuter avec un représentant. Cette définition est un fondement de la Charte, qui permet que la détermination des personnes majeures et des personnes mineures dépende d'une disposition juridique, si la volonté du peuple est exprimée directement par le milieu des mécanismes électoraux. ; C'est ainsi que sera la citoyenneté, à travers les votes, qui enverra les bases pour classer une politique actuelle déterminée comme minorité. Dans la sentence C-145/94 (le député Alejandro Martínez Caballero), il a affirmé que "seulement il y a une vraie démocratie chez les minorités et l'opposition est protégée pour finir par pouvoir légiférer dans un futur dans les options maires, si faire en sorte qu'il réponde aux besoins du citoyen ». Eh bien, le projet sous-révisé est établi comme réponse du citoyen comme critère définitif pour définir qui sera les sujets de cette protection, qui dans ce cas se concrétise en médidas comme l'arbitrage d'un siège à la Chambre des Représentants, qui est à tous luces compatibles avec le précepte constitutionnel de soberanía populaire (art. 3, CP). On suppose donc qu'il n'est pas exclu que les mesures futures, législatives ou administratives, puissent établir d'autres mécanismes différents pour protéger les minorités politiques.
Les exigences spécifiques qui imposent l'article 4 fils, au juge de la Cour, raisonnables et conséquentes à cette approximation, car elles prétendent éviter de se confondre avec ces minorités, de niveau national, avec d'autres mouvements de niveau de compétence proprement régional ou départemental. . Dans cet ordre d'idées, vous avez senti l'exigence que le mouvement ou le parti respectif ait été inscrit des candidats pour le moins dans le 30% des circonscriptions territoriales, et que votre vote municipal dans un département sans mer soit plus que le 70% de votre vote en tout pays.
Le seul réparation de la constitutionnalité que la Cour rencontre dans cette disposition, estriba en que, par sa rédaction, limitera uniquement aux partis et aux mouvements politiques la possibilité d'être considéré comme une minorité politique et d'adhérer, ainsi, à la curul qui se prépare . Il est clair pour cette entreprise que les partis ne manifestent pas le monopole de la politique, dans le domaine où ils sont ouverts à la participation d'autres types d'associations sociales, comme les contemplés de l'article 108 de la Charte, selon ce qui peut inscrire des candidats aux élections. : a) les partis et les mouvements politiques avec une personne juridique reconnue, b) les mouvements sociaux, etc) les groupes significatifs de citoyens. Nada s'oppose à ce que les sujets contemplés dans les littéraux b) yc) planifient pleinement avec les exigences traitées par la norme, car cela ne peut pas être valablement exclu de la possible catégorisation comme minorités politiques, donc risque de vulnérabilité les articles 13, 40 et 108 de la Constitution. En conséquence, il faudra déclarer la constitutionnalité de l'article 4 du projet de loi de bas examen, à condition qu'il soit entendu que, conjointement avec les partis et les mouvements politiques qu'ils envisagent expressément, ils peuvent également aspirer à occuper le cursus dans la question des représentants. des mouvements sociaux et des groupes significatifs de citoyens, toujours et quand ils planifient avec les exigences que le même article consagra.
3.4.4. Candidats des colombiens résidents à l'extérieur
L'arbitrage de ce curul est une conséquence directe de la relation inescindable qui existe entre la qualité du citoyen colombien et l'exercice des droits politiques, car il présupone que, à trouver à l'extérieur du territoire national, les colombiens résidents à l'extérieur están unidos al país por un vínculo essentiel, dérivé de votre nationalité, qui justifie le fait d'être un représentant dans le corps législatif, chargé de promouvoir vos intérêts. La Charte politique est explicite pour affirmer que, comme la loi générale, les droits politiques sont réservés aux citoyens colombiens (art. 99 et 100, CP); pues bien, le projet a une révision possible de l'exercice efficace de ces droits à quienes pour diverses causes tengan votre résidence à l'extérieur.
En conséquence, il est logique que ceux qui vont exercer la représentation de ce groupe aient une connaissance de la cause suffisamment solide, afin de connaître les problèmes que leurs intégrants doivent affronter. Par ailleurs, le débat dans le premier élément de l'article 5 du projet révisé, sur la nécessité pour le candidat des résidents à l'extérieur de devoir, avant les autorisations, une résidence minimale à l'étranger de cinq années continues, s'ajuster aux paramètres. constitutionnelles.
Cela ne succède pas à l'exigence d'être avalado par un parti ou un mouvement politique reconnu par le Consejo Nacional Electoral. Pour le Tribunal, cette disposition doit être interprétée de la manière suivante: a) Il n'y a pas d'exclusion de la possibilité que les colombiens résidant à l'extérieur du constituant, eux aussi, un mouvement qui fait que l'occupant soit chargé par aval, en vertu du litige par l'article 40-3 Supérieur ; yb) Non impidament que, pour les mêmes raisons invoquées pour le cas des minorités politiques, les candidats peuvent également être respectés par les mouvements sociaux ou par les groupes significatifs de citoyens. Dans ce sens, il faudra conditionner la constitutionnalité de cette première étape.
Le deuxième article de l'article 5, qui dispose que ces candidats peuvent seuls être élus avec les votes des résidents colombiens à l'extérieur, est ouvertement inconstitutionnel, pour trois raisons. En premier lieu, parce qu'il est expliqué, il s'agit d'une circonscription spéciale de compétence nationale, car le vote des candidats qui ont passé par elle est postulable doit être ouvert à la participation de tous les citoyens. En deuxième lieu, parce que bien peut-être darse la circonstance que les colombiens qui résident sur le territoire national décident, librement, que le candidat des résidents à l'étranger est celui qui représente le mieux ses propres intérêts; Empêcher ceux qui se trouvent dans cette situation de voter, par conséquent, pour ce candidat, sera une restriction démesurée de son droit fondamental à la participation politique, dont le noyau essentiel se révèle clairement vulnérable. Enfin, parce que vous reconnaissez une restriction qui viole le principe de l'égalité, vous n'êtes pas prévu pour aucun des groupes qui envisagent le projet de loi sous-révisée, et il n'existe pas, au tribunal, de critères raisonnables qui permettent justifier la différence mentionnée. En conséquence, il sera déclaré l'inexéquibilité de l'incisio en question, ainsi que le paragraphe de l'article 5, qui traza ciertos requisitos de indole probatoire, orientés vers la démonstration de la résidence à l'extérieur de quienes répondra à un candidat ; Eh bien, parce qu'il s'agit de dispositions qui soutiennent une norme que la Cour considère comme inconstitutionnelle, et qui pierden sa raison d'être avec la déclaration d'inexéquibilité de cet état, c'est pourquoi elle doit exclure l'ordonnance.
3.5. Dispositions communes
3.5.1. Régime similaire aux représentants des demás.
Más allá del hecho de tratarse d'une circonscripción spéciale que, pour estar destinada à fortalecer la participation de ciertos grupos, justifie l'exigence de conditions spéciales pour les représentants que pour elle se postulen, il n'existe aucune différence significative entre quienes accedan aux cinq curules que elle l'a entendu et les autres membres de la caméra. Par conséquent, la Constitution ajuste les dispositions finales du projet, en ce qui concerne les candidats par circonscription spéciale, ainsi que les représentants de tous les élus, au régime général des membres de cette société.
C'est ainsi que nous ajustons à la carte les articles 6, 7 et 8 du projet. Le premier, c'est qu'il est prévu que les candidats de circonscription spéciale doivent s'inscrire avant le Registrador Nacional ou son délégué, à l'exception de ceux qui sont postulés par les colombiens résidents à l'extérieur, qui doivent s'inscrire avant le consulat ou l'ambassade colombienne du pays où ils sont accrédités. votre résidence. Cette exception est en accord avec l'article 5 du projet, qui exige pour ces candidats une résidence minimale de cinq années continues à l'étranger. Deuxièmement, parce que certains d'entre eux résultent d'élégants par cette circonscrition au même régime général d'incompatibilités et d'incapacités que la Constitution prescrit, sans distinction, pour les congrès. Troisièmement, parce qu'il établit les mêmes exigences générales que la Constitution, dans son article 177, impose aux représentants en général.
Par le même motif, il est compatible avec la Charte des dispositions des articles 10 à 13 du projet. Il est prévu que les candidats de cette circonscription soient élus au milieu du système qui, au moment où ils réalisent les élections, servent à accompagner les parlementaires en général ; De l'avis de l'article 263 Supérieur, c'est le système du savoir électoral. Le undécimo, réitère le principe général de « une personne, un vote » ; le duodécimo, il est établi que les premières élections pour la dite circonscription spéciale se réaliseront au même moment que la prochaine élection générale des congrès; et le décimotercero, effectue une remise normative générale du régime des représentants en tout ce qui n'est pas prévu pour le projet. Tout cela est parfaitement compatible avec le principe de l'égalité et, par conséquent, il sera déclaré exécutable.
3.5.2. Tarjetas électorales spéciales
Il ne succèdera pas non plus au litige dans l'article nouveau du projet, qui adopte les dispositions suivantes : la première, que les candidats des communautés autochtones et noires apparaîtront dans une carte électorale de circulation nationale, clairement différenciées les uns des autres ; et ensuite, les candidats colombiens résidant à l'extérieur apparaîtront sur une carte spéciale de circulation exclusive aux consulats et aux ambassades colombiennes dans le reste du monde.
L'article 258 de la Charte dispose que les cartes électorales suministradas aux électeurs doivent connaître les conditions requises en fonction de l'identification des candidats qui apparaissent : elles doivent être claires et doivent être appliquées dans des conditions identiques. Il a été dit par le Tribunal, dans la phrase T-040/98 (député Antonio Barrera Carbonell), que « le processus électoral s'établit fondamentalement clairement et sans équivoque l'identification des candidats, avec mira pour assurer que les électeurs soient élus ». votre droit au droit de voter pour les personnes de vos préférences ». L'incise première de la norme reproduit l'exigence constitutionnelle, en prescrivant une différence claire entre les candidats des communautés autochtones et les candidats des communautés noires ; mais, selon l'opinion de la Cour, elle ne peut pas interpréter la forme selon laquelle les candidats doivent apparaître sur une carte électorale spéciale, distincte du général qui doit entrer aux électeurs de chaque circonscription territoriale ; Cela constitue une différence de traitement difficilement justifiable en termes constitutionnels en ce qui concerne les autres candidats. Par ailleurs, l'équité de l'incisio dans le sens de la carte électorale à la référence, sera la même tarjeta dans la mesure où les nombreux candidats peuvent apparaître à la Chambre dans chacune des circonscriptions territoriales, et cela en elle, doit apparaître clairement identifiée comme candidats par les circonscriptions respectives.
Le deuxième, pour sa part, est ouvertement inconstitutionnel, car c'est une conséquence directe de la disposition qui donne la possibilité de voter aux candidats des résidents colombiens à l'extérieur, qui est seulement ouverte à ceux qui se rencontrent à l'extérieur du territoire. Au niveau national, la limitation qui, comme cela se produit, est inacceptable. De même, ils devraient être déclarés inexécutables et compléter les conditions constitutionnelles du premier acte, de la même manière que les candidats colombiens résidant à l'extérieur qui participent à cette circonscription doivent également être inclus, et donc identifiés. , sur la carte électorale générale qui reçoit la citoyenneté et les votes pour la Chambre des Représentants.
3.5.3. Vigencia
La constitutionnalité du dernier article du projet n’est pas discutée, car elle correspond à la discrétion du législateur pour déterminer lorsqu’il entrera en vigueur les lois pour lui aussi rapidement.
VI. DÉCISION
En mérite de l'expuesto, la Sala Plena de la Corte Constitucional, administrador justicia en nom del pueblo y por mandato de la Constitución,
RESULTER :
Primero.- Déclarer les EXEQUIBLES :
un. L'article 1, en bas de l'entendement des communautés naturelles de l'archipel de San Andrés et Providencia, comprendra tous les effets de la présente loi, dans les communautés noires.
b. Les articles 2 et 3.
c. L'article 4, à condition qu'il puisse également adhérer au curul pour les minorités politiques, que les candidats, qui ont les exigences toutes établies, soient présentés avec le respect des mouvements sociaux ou des groupes significatifs de citoyens, et non seulement les mouvements ou partis politiques.
d. L'article premier inclut l'article 5, conditionné par le fait que tout litige n'exclut pas : a) la conformité des partis ou des mouvements politiques propres à la partie des citoyens colombiens résidents à l'extérieur, qui peuvent otorgar le correspondant aval ; b) la possibilité de se présenter aux élections prises en charge par les mouvements sociaux ou les groupes significatifs de citoyens.
e. Les articles 6, 7, 8, 10, 11, 12, 13 et 14.
f. L'essentiel de l'article 9, toujours et quand il est entendu que la carte électorale à la référence, sera la même carte dans laquelle les nombreux candidats apparaîtront à la Chambre dans chacune des circonscriptions territoriales, et qui en elle, deberán apparaissent clairement identifiés comme candidats par circonscription spéciale, les aspirants des communautés autochtones, les communautés noires et les colombiens résidant à l'extérieur.
Deuxièmement.- Déclarer INEXEQUIBLES:
un. Le deuxième inciso et le paragraphe de l’article 5.
b. Le deuxième inciso de l’article 9.
Notifíquese, comuníquese, publicíquese, inserte in the Gaceta de la Corte constitucional and archívese el opportune.
FABIO MORON DIAZ
Président
ALFREDO BELTRAN SIERRA
Magistrado
MANUEL JOSÉ CEPEDA ESPINOSA
Magistrado
CARLOS GAVIRIA DIAZ
Magistrado
RODRIGUE ESCOBAR GIL
Magistrado
JOSÉ GREGORIO HERNANDEZ GALINDO
Magistrado
ALEJANDRO MARTINEZ CABALLERO
Magistrado
EDUARDO MONTEALEGRE LYNETT
Magistrado
ALVARO TAFUR GALVIS
Magistrado
MARTHA SACHICA DE MONCALEANO
Secrétaire Général
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Disposiciones analizadas por Avance Jurídico Casa Editorial Ltda.© ISSN 1657-6241, « Leyes depuis 1992 – Vigencia Expresa y Sentencias de Constitucionalidad », 9 septembre 2002.
Incluye análisis de vigencia expresa y análisis de fallos de constitucionalidad publicados hasta 9 de septiembre de 2002.
La información contenida en este medio fue trabajada sobre transcripciones realizadas a partir del Diario Oficial; los fallos de constitucionalidad fueron suministrados por la Corte Constitucional. Cuando fue posible se tomaron los textos del Diario Oficial publicados por la Imprenta Nacional en Internet.