Dans Western Organization of Resource Councils et al. US Bureau of Land Management et al, plusieurs organisations environnementales ont contesté l'évaluation par une agence fédérale des Plans de Gestion des Ressources révisés (« PGR ») pour le développement du charbon dans deux zones couvrant des millions d'acres de terres publiques et domaines miniers fédéraux dans le bassin de la rivière Powder.
Les organisations environnementales ont contesté la décision du Bureau des mines de surface d'autoriser l'expansion de l'exploitation minière souterraine de charbon Bull Mountains Mine n° 1 dans l'État américain du Montana. Plus précisément, la société minière a cherché à louer plus de 2600 acres de terres houillères appartenant au gouvernement américain afin de continuer à produire du charbon. On a estimé que l'expansion ouvrirait l'accès à plus de 132 millions de tonnes de charbon sur des terres publiques et privées. Une majorité (95%) du charbon produit à la mine est expédiée outre-mer en Corée, au Japon et aux Pays-Bas.
Earthlife Africa Johannesburg a sollicité le contrôle juridictionnel d'une décision du Département des Affaires Environnementales (DEA) accordant une autorisation environnementale pour une centrale électrique au charbon et de la décision du Ministre de l'Environnement de ne pas retirer l'autorisation dans le cadre d'un appel sur cette autorisation. La Division Gauteng de la Haute Cour d’Afrique du Sud, siégeant à Pretoria, a examiné la décision initiale et la révision de cette décision par le Ministre. La Cour a finalement annulé une partie de la décision du Ministre sur l’appel de Earthlife et lui a renvoyé « la question des effets du changement climatique pour réexamen sur la base des nouvelles preuves contenues dans le rapport sur le changement climatique » qui a été soumis après l’autorisation initiale. La Cour a suspendu l’autorisation environnementale en attendant l’examen de la décision par le Ministre. Id. aux par. 119-121.
Constitutional Court nullified law allowing mining in páramos (high-elevation wetlands), despite a general moratorium on mining activities in these ecologically important areas. Because páramos provide environmental services in regulating the hydrological cycle and sequestering carbon, the Court decided the government must protect páramos as part of its duty to fulfill the fundamental constitutional rights to water and a healthy environment.
High Country Conservation Advocates c.USFS, 52 F.Supp.3d 1174 (D. Colo.27 juin 2014), disponible à l'adresse https://www.leagle.com/decision/infdco20140630a94